1968—Paris. Europe. Les années 60. Le tumulte et l’innocence. Découverte de soi et liberté nouvelle. Alex, jeune américain, vétéran du Vietnam, vit alors à Paris. L’absurdité de cette guerre a rendu la plupart de la jeunesse américaine cynique envers son gouvernement. Certains ont gagné l’Europe non seulement pour fuir l’Amérique mais pour tenter de trouver une manière de vivre.

          Devenu journaliste, Alex se retrouve par trop impliqué dans les événements qu’il couvre : En Grèce avec la police locale ; pendant « le Printemps de Prague » lors de l’invasion russe ; avec les étudiants parisiens face aux CRS dans les barricades de la Sorbonne.

          Et puis les femmes : Cécile, la française, sophistiquée et mondaine ; Iris, grecque, évasive, aussi mystérieuse que la Grèce Antique elle-même ; Lisa, l’américaine, l’une des jumelles, innocente sans être naïve et aussi américaine qu’une apple pie, avec une galerie de personnages uniques et exotiques, des idéalistes, des poètes, des artistes, des gangsters, et des révolutionnaires, tous pris dans les évènements puissantes d’une grande importance historique pour leur génération.

          1968 a transformé nos existences et le monde. Et ces changements se ressentent encore et continuent d’influencer nos vies de façon imprévisible. Deux faits majeurs essentiels se sont déroulés en Europe en 1968 : en mai, à Paris, la révolte des étudiants qui a été l’une des émeutes les plus tumultueuse arrivées dans cette ville et qui a failli renverser le gouvernement, paralysé la France, et marqué la génération qui l’a vécu. Et l’invasion de la Tchécoslovaquie par les Russes et ses alliés de l’Europe de l’Est qui a signifié l’écrasement du mouvement de liberté du Printemps de Prague.

          Le roman « A la Fin du Jour » se déroule surtout à Paris, ville magique qui a toujours exercé un grand attrait pour les américains expatriés. Une histoire intense, drôle, riche, unique et émouvante qui fait allusion non seulement aux incidents de 1968 mais qui est aussi un trajet à la recherche de l’amour, de l’espoir, de la propre identité des personnages, et du rôle qu’ils joueront dans la vie. Le premier roman à paraître qui utilise les épisodes de mai 68, comme toile, pour raconter une belle histoire d’amour et qui saisit aussi, par les détails dramatique et vivants, les évènements de mai ’68 lorsque la ville de l’amour semble déterminée à écraser la jeunesse et la liberté.

Ed Levesko a été étudiant à l’université de la Sorbonne à Paris.

“Dans le premier roman de Levesko, un jeune homme à la pensée profonde médite sur la vie et l’amour à Paris et au-delà … Le voyage d’Alex, d’une jeunesse confuse et irresponsable à une maturité plus réfléchie, résonnera en quiconque a été aux prises avec des questions existentielles… un roman peut-être très philosophique, par moments, mais un roman qui a su capter l’agitation et l’excitation de la fin des années 60.”

—Kirkus Critique

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(French Edition)

 

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At The End Of The Day

          1968—Paris. Europe. The 60s. Turmoil and innocence. Self-discovery and new freedom. Alex, a young American, Vietnam veteran, lives in Paris. The absurdity of that ugly war had turned the youth of America into cynics. Many went to Europe not just to flee America but to try to find another way of life. Alex, a freelance journalist, keeps getting too involved in the stories he covers: Greece and its police state; “Prague Spring” and the Russian invasion; Parisian students facing the gendarmes across the barricades around the Sorbonne.

           And then there are the women: Cécile, French, sophisticated, worldly; Iris, Greek, earthy, as mysterious as ancient Greece itself; Lisa, American, from a set of twins, innocent but not naïve, and as American as apple pie, along with a cast of unique and exotic characters, idealists, poets, artists, gangsters, and revolutionaries, all caught up in the powerful events of great historical significance to their generation.

          In 1968 our lives and the world changed. And the changes are still echoing and will continue to affect our lives in unforeseeable ways. Two major and momentous occurrences took place in Europe in 1968: The May students’ revolt in Paris which was one of the most tumultuous events to happen in this city that nearly toppled the government, paralyzed France, and defined the generation that experienced it. And the invasion of Czechoslovakia by the Russians and its eastern European allies meant to crush the Prague Spring freedom movement.

          At the End of the Day is a novel set mostly in Paris, a magical city that has always been a great magnet for expatriate Americans. An intense, funny, rich and unique tale that deals not only with the events of 1968, but also with each character’s journey in his search for love, hope, self-identity, and for the place he will occupy in life. The first novel that uses the events of May ’68, in Paris, as a canvas to tell a beautiful love story that captures, in dramatic and vivid details what happened when the City of Love is bent on crushing youth and freedom.

Ed Levesko studied at the Sorbonne University in Paris.

“In Levesko’s debut novel, a deep-thinking young man ponders life and love in Paris and beyond…Alex’s journey from irresponsible unfocused youth to a more thoughtful maturity will resonate with anyone who’s struggled with questions of how to live in the world…an overly philosophical novel at times, but one that captures the turmoil and excitement of the late 60s.”

—Kirkus Reviews

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